Deux mois après sa sortie et plus de 100 heures passées à Hyrule, je n’ai aucun doute : The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom est le meilleur jeu pour la console Nintendo Switch que j’ai jamais expérimenté. Participer à une telle aventure est une expérience unique pour un joueur, une opportunité qui ne se présente qu’une fois tous les quelques années.
Une console vendue par un seul jeu
En 2017, The Legend of Zelda : Breath of the Wild m’a convaincu d’acheter la console Nintendo Switch. Lorsque cette console portable a fait ses débuts il y a six ans, son catalogue de lancement était très maigre. Cependant, BotW seul a suffi pour que je découvre le véritable potentiel de cette plateforme. Un potentiel qui a propulsé la Switch au rang de best-seller absolu.
La clôture d’une épopée japonaise
Six ans après la sortie de ce jeu, le cycle japonais se referme. Nintendo a sorti le très attendu The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom. Au premier abord, le jeu ressemble à une copie du fantastique Breath of the Wild, mais deux mois après sa sortie et avec plus de 100 heures de jeu à mon actif, je sais mieux :
Le meilleur des meilleurs
En ce qui concerne les hits de Nintendo pour cette console, j’ai joué à presque tous. La Switch possède un catalogue exclusif exceptionnel. À mon avis, le plus réussi de toute l’histoire de Nintendo. Cependant, si je devais choisir un seul titre à jouer sur cette console, je n’aurais aucune hésitation. Je recommanderais The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom.
Plus qu’une simple copie
Bien que Tears of the Kingdom puisse sembler être une copie de Breath of the Wild avec des îles flottantes comme principal ajout, la vérité est complètement différente. La nouvelle Zelda est nettement meilleure, plus grande et plus aboutie que son excellente prédécesseuse, sur de nombreux plans variés et dans de nombreux aspects du gameplay. À commencer par l’ancien-nouveau monde :
Un monde plus captivant
Le monde de Tears of the Kingdom est beaucoup plus intéressant que celui de Breath of the Wild, notamment grâce aux quêtes. Commençons par une brève comparaison numérique pour mettre ce paragraphe en perspective : dans l’ancien Breath of the Wild, les joueurs avaient environ 150 missions à accomplir. Dans le plus récent Tears of the Kingdom, il y en a plus de 250. Bien sûr, la qualité des quêtes est aussi importante que leur quantité, mais cette comparaison montre qu’il y a simplement plus à faire dans la nouvelle version.
Une exploration enrichie
On le ressent lors de l’exploration de ce monde ouvert et intrigant. Il y a plus d’éléments uniques à l’horizon que dans l’épisode précédent. Nous rencontrons plus souvent des personnages non-joueurs, et bon nombre d’entre eux ont besoin d’aide. Il y a plus d’activités en plein air qu’auparavant, et Hyrule est devenu plus intéressant. Le royaume a vu l’apparition de grottes et de cavernes, de constructions supplémentaires et de nouveaux moyens de transport. Il y a plus de tout, des défis aux possibilités.
Un monde élargi
The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom a élargi le monde non seulement vers les cieux, mais aussi vers les souterrains. Enfin !
Un manque comblé
L’un des plus grands manques de Breath of the Wild de 2017 était les souterrains. Certes, les joueurs ont exploré quelques grottes et de nombreuses chapelles souterraines, mais il n’y avait aucune trace de donjons gigantesques s’étendant sur plusieurs kilomètres. Tears of the Kingdom comble enfin ce manque.
Des souterrains captivants
Les souterrains de la dernière Zelda sont l’un de mes éléments préférés. Ils sont sombres. Ils sont inquiétants. Ils peuvent être exigeants. Ils introduisent dans le gameplay la nécessité de faire attention aux sources de lumière. Dans les nouveaux donjons, cet élément inquiétant de Zelda, absent de l’épisode précédent mais bien connu des joueurs plus âgés, fait son retour. Ceux qui ont rencontré Dead Hand dans Ocarina of Time savent exactement de quoi je parle.
Un second souffle grâce à la construction
Le module de construction dans des jeux comme Minecraft, Sons of the Forest ou Valheim prolonge considérablement la durée de vie du jeu. Il en va de même pour Zelda, bien que le mode de construction de Tears of the Kingdom ne soit pas aussi développé que dans les exemples que j’ai mentionnés. Cependant, les outils limités n’entravent pas la vision des joueurs, qui créent des merveilles absolues.
Des possibilités sans fin
Deux mois après la sortie de The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom, les fans continuent de repousser les limites du module de construction. Regardez par exemple l’observatoire des étoiles qu’un joueur a récemment construit. C’est incroyable :
cyclone of stars! 🌟🌟🌟🌟🌟🌟#ゼルダの伝説 #TearsOfTheKingdom #ティアキン #Zelda pic.twitter.com/bOENexFXml
— Rutiwa羽 (@rutiwa) July 4, 2023
Une certitude grandissante
Chaque jour qui passe, je suis de plus en plus sûr de cette décision. Au début, je me demandais à quel point mon verdict était biaisé par ce qu’on appelle l’effet de nouveauté. Cependant, maintenant, deux mois après la sortie de la nouvelle Zelda, avec du recul, je déclare sans aucune hésitation :
The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom est le meilleur jeu pour la console Nintendo Switch.
Je suis Samuel Le Goff, à la tête de Menow.fr et père de deux enfants. À 38 ans, je navigue dans l’univers de l’informatique depuis plus de 14 ans, me spécialisant récemment dans le contenu high-tech et le gaming. Ma mission ? Partager des conseils pratiques et des insights en technologie, avec une touche d’honnêteté et d’authenticité, comme si je m’adressais à des amis.